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rennes le chateau, la revelation
rennes le chateau, la revelation

©© P.Silvain, www.rennes-le-chateau-la-revelation.com Mercredi 14 mars 2001

 

LES MUTILATIONS DE BETAIL

C’est aux Etats-Unis qu’eut lieu pour la première fois une vague mystérieuse de mutilations de bétail, restée inexpliquée à ce jour ; en effet, l’attaque de prédateurs, tout comme l’intervention de sectes sataniques, ont été formellement écartées, tant les observations que les constats effectués défient toute explication.

 

Après « Lady », jeune pouliche qui fut retrouvée le 9 septembre 1967, de nombreux autres cas furent signalés la même année au Colorado et en Pennsylvanie. Par la suite, il y aura une vague de mutilations dans les Etats du Middlewest : Alabama, Iowa, Texas. A partir de 1990, on signala d’autres incidents au Canada, en Amérique centrale et en Amérique du sud, en Asie et en Europe.
La plupart des mutilations concernent des bovins, bien qu’on ait aussi retrouvé des cas de chevaux, de moutons et de chèvres.
Dans tous les cas, on ne trouve aucune trace de lutte, ni de pas conduisant à la carcasse mutilée.

Empruntons à Jean Sider quelques cas assez troublants :
« Il s’agissait d’un taureau de race Brahma dont la langue et les parties génitales avaient été enlevées avec, en plus, la zone rectale évidée. Il n’y avait aucune trace de sang ni de marques quelconques laissées par les mutilateurs. Le soir venu, vers 20 h 15, alors que le jeune Travis menait sa petite amie Julie sur le site pour lui montrer la carcasse, une lumière céleste mobile, dix fois plus brillante qu’une étoile apparut au-dessus du champ. Différentes lumières plus petites et colorées (rouges, jaunes, bleues, blanches) furent distinguées sur ses bords lorsque le phénomène fut observé de plus près. De façon irrégulière mais fréquente, ces lumières attenantes émettaient des éclats intenses très brefs... » S1 p.128.

Citons à titre d’exemple deux affaires répertoriées au Japon entre 1989 et 1991 :
- « La première s’est déroulée dans le secteur d’Hayase, à 15 km de Takko, préfecture d’Aomori... Le corps mutilé d’une vache fut localisé le 31 août. La bête avait été amputée de sa mamelle dans une plaie parfaitement ronde de 25 cm de diamètre et de 15 cm de profondeur ; la moitié de son oreille gauche et le bout de sa langue avaient également été enlevés. Comme pour les cas américains, pas une seule trace des mutilateurs ne put être trouvée, de même qu’aucune quantité de sang, si petite soit-elle, ne fut découverte. » S1 p.145.

- « Le 29 décembre 1990, vers 2 h 30 du matin, un éleveur de la région de Kinryuu, préfecture de Saga, fut réveillé par les aboiements de son chien... Vers 6 h lorsque son épouse se rendit dans l’étable, elle découvrit une vache morte et mutilée. Les pis et la langue avaient été sectionnés avec une grande précision et, bien entendu, il n’y avait pas le moindre élément laissé par les mutilateurs qui eût permis de les identifier...  
Le 4 janvier de l’année suivante, le même fermier fut réveillé au milieu de la nuit, et se précipita cette fois vers l’étable. Là, il vit toutes les bêtes de son troupeau qui s’agitaient, très énervées, au lieu d’être couchées et de dormir. Soudain le faisceau de sa lampe éclaira un ahurissant spectacle : un objet ou une créature ressemblant à une méduse flottait en l’air dans l’étable ! La chose ne se laissa pas examiner davantage car elle sortit du local et fila en hauteur où elle s’évanouit rapidement...
 » S1 p.145.

Selon le Docteur Altshuler qui a rédigé un rapport :
« Des examens à l’oeil nu de dépouilles d’animaux, victimes des mutilations inexpliquées, suggèrent que la mort des bêtes n’est pas accidentelle, ni due à des prédateurs, ni à des adeptes de sacrifices rituels. Des examens radioscopiques des tissus ont été confrontés en détail à ceux de tissus humains dont les modifications avaient été provoquées par une température élevée. Il est difficile d’échapper à la conclusion incontournable voulant que les changements dans les tissus des animaux victimes de ces mutilations proviennent d’une dissection pratiquée avec un instrument produisant une haute température. L’outillage utilisé, les moyens employés, demeurent encore un mystère. Le but recherché est tout aussi énigmatique, sinon plus. Le fait que ces animaux soient trouvés dans des zones reculées, loin de traces humaines ou animales, à l’écart des routes et des chemins, quelques heures, au plus, après avoir été vus vivants alors qu’étaient observés des phénomènes aériens insolites, tout cela suggère que des facteurs extraterrestres doivent être considérés comme entrant dans une explication plausible du nombre toujours plus élevé de bestiaux mutilés, problèmes qui restent toujours non résolus. » S1 p.127.

Au niveau des plaies, les analyses des tissus pratiquées dans des laboratoires spécialisés ont laissé perplexes :
« Des examens au microscope ont révélé des effets calorifiques très élevés (350°) sur certains dommages réalisés avec la précision chirurgicale des rayons laser sans trace de résidus carboniques, alors que les rayons laser des chirurgiens en laissent systématiquement... Les vaisseaux sanguins sont souvent trouvés identiques à des tubes creux vidés de leur sang, sans que le phénomène de collapsus se soit produit. » S1 p.128

Dans une passionnante enquête, publiée en 1989, (« AN ALIEN HARVEST » : « Une récolte extraterrestre »), l’écrivain et cinéaste Linda Moulton Howe fait le point des mutilations de bétail.
Selon elle, l’ablation des organes relèverait d’une technologie très évoluée ; elle décrit :
« Une oreille enlevée, un oeil énucléé - ou l’ablation d’un cercle de chair autour de l’oeil -, les parties molles des mâchoires prélevées... La langue est sectionnée généralement jusqu’au larynx. Dans de nombreux cas, non seulement le larynx est enlevé mais également vingt centimètres de la trachée. Il y a également ablation des organes génitaux, mâles ou femelles. Le tissu rectal est aussi généralement extrait, parfois jusqu’à trente six centimètres. »

Il s’agirait selon elle d’une intervention d’aliens :
«  Comment est-ce qu’un taureau du Colorado pesant 900 kg peut se retrouver sur le dos, les cornes enfouies de 15 cm dans le sol, les quatre pattes en l’air, les deux yeux enlevés, la langue retirée, les organes génitaux sectionnés et le rectum découpé ? Le taureau se trouvait sur un sol poudreux et pourtant il n’y avait aucune trace alentour du passage d’un autre animal. Dans de nombreux cas, le tissu animal a été exposé à des températures élevées. Tout indique l’utilisation d’une technologie que nous ne comprenons pas... »

Tout confirme l’hypothèse d’un enlèvement par la voie des airs :
« Ce qui expliquerait l’absence totale de traces sur les sites, le bris de certains os, les positions anormales des dépouilles dans de nombreux cas (par exemple : sur le dos, les quatre pattes raides en l’air), ainsi que le déplacement de bêtes hors du pâturage où elles étaient parquées, en des endroits où elles n’ont pu se rendre elles-mêmes, impliquant le franchissement de clôtures protégées, de cours d’eau profonds sans pont, etc...

Des animaux mutilés ont même été retrouvés au milieu de mares, sur des barrières de fils de fer barbelés, dans des tranchées d’irrigation, encastrés entre deux gros rochers, le long de routes très fréquentées et même devant l’entrée d’une base du NORAD, à Fort Carson, Colorado, l’un des lieux les mieux surveillé au monde. » S1 p.143 (Ce dernier point, cette  « livraison sous le nez » aurait dû depuis longtemps être compris comme porteur d’un message sans équivoque... (NdA).

 

Un avertissement symbolique :  
Personne jusqu’à ce jour n’a imaginé ni ne s’est avisé d’un lien entre les mutilations de bétail et la maladie dite de la « vache folle » ou EBS, liée au prion.
Il m’a été suggéré que c’est à partir du foie d’animaux contaminés que sera un jour fabriqué un vaccin. Celui qui le découvrira aura été séduit par cette voie de recherche en lisant ces lignes ; qu’il me soit permis de lui dire que le temps presse !

1° - Les animaux enlevés puis mutilés sont principalement des bovins et animaux sauvages (ruminants), espèces chez qui on découvre maintenant des cas de maladie. (Il ne s’agit pas d’une épizootie mais d’une pandémie).
2° - Le terme de  « mutilation » ne semble pas des plus approprié ; l’exérèse chirurgicale d’organes divers (et non de parties d’animal) par une technique propre, précise et inconnue, suivie de la restitution volontaire et ostentatoire des dépouilles d’animaux suggère sans le moindre doute une procédure que les humains appellent  « autopsie ».
3° - Le choix de chaque organe répond à un message bien précis :
- L’ablation du cerveau signifierait que la maladie s’attaque au cerveau.
- L’ablation de la langue et du rectum signifierait que la maladie s’attrape en mangeant.
- La mystérieuse disparition de tout le sang signifierait que la maladie se transmet par le sang.
- La disparition du pis des vaches indiquerait (hélas) que la maladie se transmet par le lait.
- La disparition du foie pourrait signifier que la maladie se soigne à partir du foie.
- La disparition d’un oeil ou d’une oreille signifierait que les humains ne comprennent pas le message ! (Vous ne voyez pas et vous n’entendez pas).
4° - Les Psychosymbiotes qui nichent dans la partie arrière du cortex cérébral de certains humains ont un intérêt vital à ce que leur hôte n’attrape pas la maladie, pour éviter en quelque sorte, de devenir prisonniers d’un véhicule fou, ou d’être eux-mêmes contaminés pour l’ETERNITE.  
5° - Ne voulant pas prendre le risque d’un contact qui dévoilerait leur origine et leur véritable nature, ils adressent à l’humanité un message symbolique et de nature à attirer l’attention, sous la forme du binome  « bovins-autopsie ». Si ce message avait été compris à temps, il est certain que de grands malheurs à venir auraient pu être évités.

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