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rennes le chateau, la revelation
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Mr TRUFFIER Sylvain
Château de Cabrières
12520 COMPEYRE                                                                                                       Le 20.11.04

 

                                                                                                            Monsieur Nicolas SARKOSY
                                                                                                            Ministre d’Etat
                                                                                                            Bercy

LR.AR.(2 pages).

 

Monsieur le Président,

      Ce n’est pas au prochain président de l’U.M.P. que je m’adresse ainsi, mais au futur Président de la République, que vous pourriez irrésistiblement devenir, si vous avez la clairvoyance d’accepter ma proposition.

La destinée a fait de moi le dépositaire des clefs d’un immense coffre fort naturel, situé dans l’Aude, à proximité du village d’Arques. Ce trésor, attesté par l’Histoire (dont l’or de Delphes ramené par Brennus), cité par Pline , Strabon, Justin, et bon nombre d’auteurs anciens, a été arraché il y a près de 2000 ans, au lac votif de Tolosa (ancien nom de Toulouse) par le proconsul Caepio, et récupéré dans une embuscade tendue par les Tectosages, alors qu’il faisait route vers Rome. Depuis, plus personne n’en a entendu parler…

Votre image est celle d’un homme compétent, efficace et ambitieux, il lui manque encore les qualités du cœur (dévouement) et celles d’un homme d’Etat, telles que le courage et la rapidité de décision.

- Je désire dans cette affaire, être reconnu (ainsi que je l’affirme depuis 7 ans déjà) comme l’inventeur de ce trésor (qui est dans un lieu public) et l’unique interlocuteur de l’Etat français, représenté par vous-même, en tant que ministre d’Etat, de l’Economie, des Finances et de l’Industrie.
- Je désire qu’un partage de ce trésor (qui est immense) soit conclu sur une base paritaire, la part de l’Etat français devant être affectée, non pas à la réduction de la dette publique (colossale), mais à la suppression de l’I.R.P.P. (personnes physiques) en deux ans, seul moyen efficace, à mes yeux, de relancer la croissance.
- Je désire que la part me revenant (après évaluation d’experts) exonérée de tout impôt (ex ; I.S.F.) , soit versée à une E.U.R.L. à constituer entre mes mains et destinée, non pas à la satisfaction de désirs personnels, mais à des œuvres d’intérêt général.

Je sais bien que vous allez « regarder dans mon assiette » ! Ce serait beaucoup penserez-vous, pour un inconnu, mais il s’agit d’un inconnu qui l’a reçu du ciel.

     Si nous regardions dans votre assiette (d’impôts), l’Etat français a l’opportunité inattendue, d’encaisser en une seule fois, bien plus que ne lui ont rapporté dans l’année, l’ensemble des privatisations, et vous-même, de gagner un prestige inégalable, dans la classe politique…

   Un dicton, ne rappelle-t-il pas que si l’on peut s’accommoder de vivre avec des remords, on n’accepte jamais de vivre avec des regrets ?

   La France, et vous-même par ricochet, avez tout à gagner et rien à perdre, à accepter ma proposition. Je conçois bien, cependant, que par prudence et par crainte du ridicule, vous ne désiriez pas tomber dans une grotesque provocation…

Aussi, j’accepterai la confirmation écrite de votre accord ministériel, quand bien même il ne viendrait qu’après la mise à jour du trésor, dont la Presse sera mon témoin.

Je vous prie d’agréer, monsieur le Ministre d’Etat, l’assurance de ma plus grande considération.

 

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