| © lundi 22 octobre 2002 KABBALE.(Qabbala)
 La
      Qabbala enseigne que l’on peut trouver quatre niveaux de lecture différents
      dans la Torah ou Pentateuque :- « pshath » qui est le sens littéral, immédiat.
 - « réméz » , le sens allusif (clin d’œil)
      . Le texte suggère  un symbole ou une image.
 - « drash » , le sens donné par les Sages et concrétisé
      par le Talmud (allégorie ou exemple).
 - « sod » , le sens caché (secret)
      incommunicable , et résultat d’une quête, avec à la clef la promesse
      d’aboutissement ou « pardes » mot qui signifie 
      « jardin » en persan et est à l’origine du mot
      Paradis.
 La
      première lettre de chacun des quatre niveaux de lecture provient de
      l’acrostiche P.a.R.D.e.S. … La
      Qabbala  symbolique (différente
      de la Kabbale pratique proche de la magie) utilise différents procédés
      de lecture d’un texte :- « Guematria »
 En hébreu, les lettres ont aussi une valeur numérique et chaque mot est
      un nombre ; il s’ensuit que deux mots différents 
      dont les lettres  sont
      écrites dans un autre ordre  peuvent
      avoir la même valeur numérique, ou encore qu’un mot a la même valeur
      numérique que la somme de deux autres. Dans ces cas, il existe toujours
      une relation entre les différentes significations.
 « Adonaï » (Seigneur) a pour valeur numérique 
      10+5+6+5 = 26 qui est le nombre de Dieu.
 « Schaddaï » (Tout Puissant) : CH-AD-Aï =
      300+4+10 = 314  valeur
      de π (sans virgule).
 -
      « Notaricon »Méthode basée sur la réunion des lettres initiales ou finales de
      plusieurs mots pour en former un seul. Exemple Aleph + Thav ---> Ale/Th 
		(Aleth)
 -
      « Themoura »Consiste à transposer (permuter) les lettres d’un mot, ou à leur
      substituer, d’après certaines règles d’autres lettres de
      l’alphabet de façon à former un autre mot que celui qui est dans le
      texte. Exemple Menorah (MNRH) et Menhir (MNRH)
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