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rennes le chateau, la revelation
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PREMIERE REVELATION
LIVRE I

LE VRAI CHRIST EST JESUS BAR-ABA, ROI DES JUIFS.
IL N’A PAS ETE CRUCIFIE, ET IL N’EST PAS RESSUSCITE.
SON  TOMBEAU  EST  CACHE  A  ALET-LES-BAINS  (AUDE).

 

Table des matières

CHAPITRE I : LA NOUVELLE ARCADIE CHAPITRE VII: SECRETS ROSE+CROIX
1. L'extérieur de l'église  L'Arcadisme
2. L'intérieur de I`église  La Rose+Croix
     A. Les sculptures Secrets des « Manifestes »
     B. Les peintures Le secret de l'anagramme R+ C
Origine de l'expression « Et in arcadia ego »
CHAPITRE Il: LES BERGERS D'ARCADIE Les inscriptions R+C
1. L'abbé BIGOU Le secret de Paracelse
2. L'abbé BOUDET La Jérusalem céleste
3. L'abbé SAUNIERE La translation
     A. La vie officielle Les secrets du gnomon de St Sulpice
     B. La vie secrète Les tableaux
Interprétation des tableaux
CHAPITRE III : LES DEUX JESUS La Rose+Croix d'or
Le mystère des 2 Jésus La compagnie du Saint Sacrement
Contradictions dans les Evangiles
Contexte politique CHAPITRE VIII: SECRETS SULPICIENS
La trahison de Juda Le secret de Vincent de Paul
L'arrestation de Jésus Bar-Aba La fontaine des quatre points cardinaux
Le Jésus « terrestre » Le secret des tableaux de E.M. Signol
Le Jésus « céleste » Le secret de Delacroix
Jésus Bar-Aba, roi caché Le secret du méridien zéro
Comparution de Jésus devant Hérode-Antipas
Le jugement de Pilate CHAPITRE IX: DIX NEUVIEME SIECLE
La Crucifixion La société angélique
La substitution « Le Christ et le lièvre » (tableau)
La fausse résurrection Le secret de la double tombe
Ecce homo Le premier secret de l'abbé Boudet
Les Ecritures Le codage de l'abbé Boudet
Les hérésies Le secret de l'abbé Saunière
Le codage de l'abbé Saunière
CHAPITRE IV: SECRETS WISIGOTHS
CHAPITRE X : LA REVELATION
CHAPITRE V : SECRETS MEROVINGIENS « 813 » : Le secret (Maurice Leblanc)
Les origines Le triangle d'or » : Le secret (Maurice Leblanc)
Clovis Procès-verbal de constat (Huissier)
Dagobert Il Commentaires
Chronologies L'issue
Signification du Parchemin n° 1 Pièces
La mort de Dagobert II
REPERES BIBLIOGRAPHIQUES
CHAPITRE VI: SECRETS TEMPLIERS
Fondation de l'Ordre du Temple
Le retour de Jésus à Rhedae
Le secret du « reniement du crucifié »
Le secret de la pierre tombale
Les inscriptions templières
L'anagramme templière
Le Seigneur du Graal
Les gardiens du Graal
Monsalvat

LE SECRET DE LA PIERRE TOMBALE
de Dame Marie de Nègre d’Ables, marquise de Blanchefort.

ORIGINE

Les inscriptions de la pierre tombale de Dame Marie de NEGRE D’ABLES décédée le 17 janvier 1781, ont été minutieusement effacées au burin par l’Abbé SAUNIERE, lors de ses investigations nocturnes dans le cimetière de RENNES-LE-CHATEAU* ; par la suite la dalle aurait servi à recouvrir le nouvel ossuaire du cimetière.
La présence de cette pierre est dûment attestée par E. CROS, et elle aurait été placée horizontalement sur la tombe en 1781, par l’abbé BIGOU qui l’aurait récupérée près des Pontils.

DESCRIPTION

La pierre tombale fait apparaître un certain nombre d’inscriptions groupées et judicieusement réparties dans un ordre symétrique. Nous y trouvons des mots exprimés en latin et, chose inhabituelle, quelques lettres grecques.
Nous remarquons verticalement, à gauche et à droite de la dalle, deux groupes de lettres qui doivent se comprendre  comme l’inscription du tableau de Nicolas POUSSIN :

« ET IN ARCADIA EGO ».

 Nous trouvons au centre de la dalle quatre mots latins, groupés deux par deux, et qui peuvent se lire aussi bien horizontalement que verticalement.
Nous trouvons sur la partie supérieure, deux lettres majuscules « P » et « S ». Autour de ces lettres s’enroule une courbe dont le point de départ est avant le « P » pour venir terminer avant le « S ».
Au bas de la dalle funéraire se trouve la représentation d’un animal, surmontée de l’inscription  « PRAE-CUM ».
Les deux inscriptions supérieures et inférieures, sont reliées par une flèche à double sens, qui sépare comme un axe les quatre mots du centre de la dalle.


LES INSCRIPTIONS TEMPLIERES

L’INSCRIPTION CENTRALE

Elle est composée de quatre mots qui peuvent se lire dans les deux sens.

Horizontalement :

REDDIS* REGIS CELLIS ARCIS
JESUS, ROI DE RHEDAE,CACHE EN ARQUES

Verticalement :

REDDIS CELLIS REGIS ARCIS
JESUS, CACHE A RHEDAE, REGNE** PAR L’ARCHE

 

L’INSCRIPTION CENTRALE SUPERIEURE

P-S sont les initiales de « PECUNIA SUA », inscription qui se trouvait sur les sépultures contenant un dépôt précieux.
Dans ce cas, les lettres « P-S » signifient la présence derrière le St  SEPULCRE, d’un TRESOR.
La ligne courbe qui est initiée avant le P et qui revient avant le S, indique la nature du trésor.
La lettre de l’alphabet qui précède le P est la lettre O, et la lettre de l’alphabet qui précède la lettre S est la lettre R. Nous obtenons donc les lettres O et R, qui  précisent que le trésor est composé en majorité d’OR.***

L’INSCRIPTION CENTRALE INFERIEURE
L’animal représenté n’est pas un poulpe comme certains l’ont supposé.
Il représente une araignée, et nous affirmons qu’il s’agit de l’une des représentations de l’ARCHE D’ALLIANCE.
L’araignée tapie au centre de sa toile qui est un piège mortel, perçoit des informations provenant de toutes les directions.
L’Arche d’Alliance dissimulée aux regards, sur une hauteur, émet ses rayonnements mortels dans toutes les directions, condamnant l’imprudent qui s’avance dans la caverne... (« Bergère pas de tentation... »).

« CUM » est un mot latin et se traduit par « AVEC ».
« PRAE » se traduit par « DEVANT » ou « A COTE ».

 

 

* IS signifie  JESUS (de IesuS).
** Cf. Portail des initiés de la cathédrale de Chartres (ARCHA CEDERIS se lit JESUS OEUVRERA PAR L’ARCHE).
*** « LE TEMPLE RETROUVE » p. 69.


SIGNIFICATION DES INSCRIPTIONS

Les inscriptions centrales, supérieures, inférieures, entre lesquelles se trouvent les quatre mots centraux, le tout disposé géométriquement et symétriquement, signifient :

 JESUS, Roi de Rhedae, caché en Arques, règne par l’Arche.
Derrière lui se trouve son TRESOR composé d’or.
Non loin de lui, et devant, se trouve l’ARCHE.
 

 ORIGINE DES INSCRIPTIONS

Il s’agit d’un  « plan de situation »,  d’époque Templière :

- Postérieur à la création de l’Ordre du Temple, puisque c’est l’Arche (Araignée) que l’on voit représentée, ramenée en 1127 de Jérusalem, exploit qui est à l’origine de la création de l’Ordre du Temple.
- Antérieur à la chute de l’Ordre du Temple puisque JESUS, OR, ARCHE, sont rassemblés, ce qui ne sera plus le cas après 1307.


                                                                                                                                                                                                                             3

 ANAGRAMME TEMPLIERE

 

L’anagramme que nous avons découverte est simple, et sa signification explicite. Ecrivons bout à bout les inscriptions centrales :

« REDDIS  REGIS  CELLIS  ARCIS  PS  PRAE-CUM »

L’anagramme est :

« IS  REGIS REDDIS CELLIS CUM  ARC  PRAE  P.S »
« IS,  JESUS-CHRIST,  CACHE  A  RHEDAE  AVEC  L’ARCHE,  A  COTE  DE  P.S »

Dans ce cas, P.S. doit se lire « Pierre Sacrée », et désigne le Menhir de Peyrolles, encore nommé « Pierre dressée » sur la carte IGN. 

Il restait à expliciter le P et le S, à l’aide du nom de deux localités voisines.
- L’origine du nom de Peyrolles (P) est rapportée par Patrick FERTE à la page 307 de :                              « ARSENE LUPIN SUPERIEUR INCONNU ».
Pour Louis Fedié, ce mégalithe aurait valu son nom au territoire qui le possède, Peyrolles, dont l’étymologie serait :

« Peyra-olla »
« Pierre-urne funéraire ».

 - L’origine du nom de Serres (S), pourrait provenir selon Mrs HIVERT et MURAT, du sanscrit « Sar » qui signifie « étoile » (ser en celte). Cela pourrait être selon nous, une allusion au Graal dont l’une des dénominations est « L’étoile du matin ».
 P. FERTE (p. 140.141) rapporte les avis de plusieurs auteurs concernant le menhir de Peyrolles :                                  
Selon l’historien Louis FEDIE :
« Le menhir de PEYROLLES n’est qu’à 200 mètres environ de la route, en face de la BORNE kilométrique 65 km.. Il est en calcaire ancien (sic !), incliné S.S.O. et s’élève au-dessus du sol à 2 m 50. Sa plus grande largeur est de 0,75 m, son épaisseur de 0,60 m. On prétend qu’une VASTE EXCAVATION EXISTE SOUS LE MONUMENT, la terre résonnant en creux au pied du mégalithe (note de feu M. l’abbé ANCE). Mais nous voici enfin en face du château d’ARQUES ».
« Nous devons mentionner une circonstance qui nous a vivement frappés. Aux alentours, et presque à la base du monument, le terrain ferme et qui semble garni d’une incrustation de cailloux, présente un singulier phénomène. Il sonne creux sous les pieds des chevaux, comme si le cavalier passait sur une voûte. Existe-t-il à proximité de la pierre celtique une caverne creusée par la nature ? Ou bien est-ce la main de l’homme qui a fouillé le sol sur ce point et creusé une cavité d’une certaine étendue ?».
« Nous sommes fondés à croire qu’il existe sous ce peulvan une cavité, grotte naturelle ou caverne creusée de main d’homme, dans laquelle il serait bon de pratiquer des fouilles ».

Selon monsieur G. SICARD (1926) :
« Le sol résonne sous les pas à l’entour du monument et l’on prétend qu’une cavité ou excavation assez large existerait dans le sous-sol ».

Selon monsieur MAZIERES :
« M. COURTEJAIRE avait établi que là, où l’on regarde la pierre levée des Pontils, près du village d’ARQUES, donc au nord-est de RENNES-LE-CHATEAU, il y a une faille. Par déductions, il était persuadé qu’il y avait dans ce lieu, un ancien temple ibéro-gaulois, volque, et peut-être des caches... ».


4

LE SECRET DE L’ANAGRAMME R + C

 La pierre tombale de Dame Marie de NEGRE D’ABLES contient une anagramme parfaite, qui authentifie de ce fait la reconstitution effectuée par Ernest CROS, ingénieur et polytechnicien.
46 lettres pour l’anagramme et 46 lettres pour la dalle si l’on compte  le « e » de PRAECUM,  et G pour le Graal (araignée) tandis que les deux croix templières forment les deux (+).

Selon Jean ROBIN (p. 254 « LE ROYAUME DU GRAAL ») :
« c’est au contre-amiral CAGGER que l’on doit d’avoir trouvé  le texte de l’anagramme ».
Malheureusement, son interprétation erronée a fourvoyé des générations de chercheurs.

L’ANAGRAMME DE LA DALLE FUNERAIRE A UN SENS PRECIS :
Il  indique la cachette où le Tombeau de Jésus-Christ a été déplacé :

ISIS  REGIS  E  REGESTA  AD  CELLAM  D.M ARCHIS
 IN  PAGO  PUERI   R + C + C

Notre traduction :

ISIS = IS.IS. = JESUS.JESUS = JESUS BAR-ABA = Jésus Barabbas.
REGIS = REG/IS = ROI/JESUS = JESUS-CHRIST         (REGO = ROI)
REGESTA = ENTREPOSE, CLASSE
CELLA = PETITE PIECE, CAVE... (CAVEAU, si sépulture).
ARCHIS : vient de ARC = ARCHE = VOUTE = SECRET (arcane) : = CACHETTE
PAGO = PAYS = CITE (signifie tout autant le pays alentour, car la cité est l’urb).
PUERI = ENFANT
R + C + C = ROSE + CROIX + CABALISTIQUE. Cela désigne une ville où se trouvait une communauté juive importante pratiquant la Kabbale au 16ème siècle. (La Rose Croix Catholique de PELADAN fondée en 1891, est un symbole ET un leurre...).

Notre interprétation :

JESUS BAR-ABA, CHRIST, SE TROUVE DANS LE CAVEAU SECRET D.M
AU PAYS  DE L’ENFANT  R + C + C

Cette cité est ALET, car elle a renfermé une importante communauté juive, (on y trouve une rue de la Juiverie et un maison dite du prophète NOSTRADAMUS) et a été désignée élue, parce qu’elle est  la résidence du sauveur.

« ALECTA - ELECTA »
« ALET, ELUE »

 Patrick FERTE a démontré que NOSTRADAMUS serait originaire de CARCASSONNE, par son ascendance paternelle (juif converti) mais jusqu'à un passé récent, il était supposé qu’il était originaire d’ALET (« ARSENE LUPIN SUPERIEUR INCONNU » p. 276 à 279).


                                                                                                                                                                                                5

ORIGINE DE L’EXPRESSION « ET IN ARCADIA EGO »

 Les ROSE + CROIX qui ont déplacé le St Sépulcre au Pays d’Alet ont crypté leur message sur la pierre tombale des « Pontils », sur laquelle les Templiers avaient gravé le Grand Secret.
Le procédé, utilisant les lettres déjà existantes, qui allie le génie, la beauté et l’harmonie, est à proprement parler divin.
Nous allons démontrer que la mystérieuse inscription « ET IN ARCADIA EGO » des tableaux de GUERCHIN et de POUSSIN, n’a pas été créée « ex-nihilo », mais à partir des lettres surnuméraires, résultant de la différence entre celles de l’anagramme de la pierre tombale achevée contenant le message caché, et celles de l’inscription templière primitive. 

Ecrivons bout à bout les mots de l’inscription initiale templière, et ceux de l’anagramme R + C.
- Inscription templière (32 lettres)

REDIS  REGIS  CELLIS  ARCHIS  PS  PRA (E) - CUM -  (G = Araignée)

- Message caché (anagramme) de la dalle funéraire (46 lettres)

ISIS  REGIS  E  REGESTA  AD  CELLA  D.M  ARCHIS  IN  PAGO  PUERI  R + C + C

 Comptons les lettres, pour chacune des expressions :

2A5       3C4       1D1       4E6      2G3       1H1      4I6       2L2       1M1       0N1       0O1       2P2       4R5        5S5       0T1       1U1     

 Le reliquat des lettres surnuméraires est le suivant :

3A, 1C,1D, 2E, 1G, 2I, 1N, 1O, 1R, 1T, soit 14 lettres.

Ou encore :                               .

AAA, C, D, EE, G, I I, N, O, R, T.

 Ces 14 lettres furent assemblées pour former l’expression :

« ET IN ARCADIA EGO ».

 Cette inscription EXOTERIQUE signifie littéralement :

« MOI AUSSI EN ARCADIE »

et s’applique parfaitement au St Sépulcre caché dans la région d’Arques.

 Nous allons découvrir, comment chacune des lettres a été utilisée, pour lui donner une signification ESOTERIQUE et plus précise.

Les 14 lettres ont été divisées en deux groupes de 7 lettres, auxquelles il fallait incorporer les deux plus (+).


                                                                                                                                                                                                6

 LES INSCRIPTIONS  ROSE + CROIX

L’INSCRIPTION VERTICALE DE GAUCHE

Le « P » et le « X » sont deux lettres grecques (P étant le signe du Rhô, et X le Khi), qui se prononcent « R » et « C » ; elles ont été substituées pour former le chrisme de Jésus.
La croix templière placée intentionnellement au centre d’un triangle A + PX, permet plusieurs lectures :
- L’inscription peut se « prononcer » :

« ET IN ARC »

- Qui pourrait se comprendre :       ET IN  ALET  AIRE-TOMBE-CHRIST

- L’inscription peut se lire :

« ET IN PAX »

- Son sens caché est :

ET IN  « A + XP » ou  ET IN  « A + PX »

« A » pourrait signifier ALET ou ARQUES, ou bien n’importe quelle autre localité dont le nom commence par la lettre « A ».
« + » pourrait signifier le mot « TOMBE ». (Comme dans R + C).
« XP » est le monogramme désignant le CHRIST (Xpistos) depuis l’Empereur CONSTANTIN (IVème siècle jusqu'au VIème siècle).

Traduction :

« A + XP »
« ALETH TOMBE JESUS »

 L’INSCRIPTION VERTICALE DE DROITE
Certaines lettres latines ont été remplacées par des lettres grecques, dans un but bien précis, et attirent l’attention :
- La représentation de droite  se terminant par la lettre « OMEGA », nous invite à considérer que le premier « A » doit se lire  « ALPHA ».

« ALPHA et OMEGA » symbolisent JESUS (Apocalypse 22.13) 
« Je suis l’alpha et l’oméga »

- La représentation peut également être découpée en trois mots qui pourraient se lire de haut en bas « A  DIA EGO », homophoniquement « MOI A DIEU » ou « CREATURE DE DIEU ».
- Dans cette deuxième inscription latérale, la croix templière ne se trouve plus au centre d’un triangle comme précédemment, mais dans l’alignement d’un DELTA et d’un « I », indiquant un sens de lecture rectiligne.
Le remplacement du « D » par un  D , n’a d’autre but que phonétique :
Le 
D  se prononce en hébreu DALETH.
« I » est la première lettre du mot hébreu IESHOUAH.
L’inscription doit se prononcer en hébreu :

« D  +  I »
« DALETH TOMBE IESHOUAH »
« D’ALETH TOMBE JESUS »

Cette lecture confirme de façon éclatante notre interprétation en grec, ainsi que celle en latin  ..
Elle  rappelle la clef que l’initié PARACELSE (ami des Rose + Croix) avait inscrite sur le pommeau de son épée « AZOTH », et qui représente la traduction trilingue du Symbole de Jésus (Apoc. 22.(13)). 

Le corps de JESUS-CHRIST, parfaitement conservé, repose à ALETH ; Roi caché, Roi endormi, il attend selon la Prophétie, sa deuxième résurrection qui annoncera l’âge d’or et l’instauration du Royaume de Dieu :

« DALETH
Mon âme est attachée à la poussière : rends-moi la vie selon ta parole ! ».
Psaume 119 (25).

SIGNIFICATION DES INSCRIPTIONS
Les inscriptions verticales de gauche et de droite, mises bout à bout, se prononcent :

« ET IN ARCADIA EGO »

et signifient :

 « JESUS, CREATURE DE DIEU,  REPOSE EN PAIX A ALETH ».

 C’est le Grand SECRET, contenu dans les trois tableaux de GUERCHIN puis de POUSSIN, dont le dernier, le plus élaboré, exprime à la perfection le message du peintre, ainsi que nous allons le démontrer.

 ORIGINE DES INSCRIPTIONS
- Vraisemblablement, au moins du XVIème siècle, puisque faisant état d’une ROSE CROIX, mouvement « héritier » de la tradition cachée de l’Ordre du Temple.
- Obligatoirement antérieures à la plus ancienne des inscriptions faisant mention de l’inscription « ET IN ARCADIA EGO ».
Patrick FERTE rapporte en effet page 136 « ARSENE LUPIN SUPERIEUR INCONNU » que :
« Cette formule renvoie à une gravure allemande du XVIème siècle représentant « LE ROI DE LA NOUVELLE SION  détrôné après avoir inauguré l’Age d’Or » ». (Ce serait une allégorie de la défaite et du supplice de Jean de Leyde, chef des Anabaptistes qui avait tenté de fonder à Munster, une nouvelle Jérusalem sous la forme d’une république égalitaire).


Le courrier des lecteurs

 

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